AU SUJET DE BELFORT

 

Le Territoire de Belfort est un département français créé en 1922 à partir de l'arrondissement de Belfort, seule partie du Haut-Rhin et de l'Alsace restée à la France après la défaite de 1871. Il était à l'origine nommé « Arrondissement subsistant du Haut-Rhin ». En 1919, il ne réintègre pas le Haut-Rhin, et devient officiellement un département français le , le préfet Abel Jean Bertrand Maisonobe étant nommé et installé le . En 2022, il demeure le seul département français dépourvu de cour d'assises. La cour d'assises compétente est celle de Vesoul, dans le département voisin de la Haute-Saône.

En 1956, il n'intègre pas la région de programme d'Alsace, à l'inverse du Bas-Rhin et du Haut-Rhin. Par un décret de 1960, il est rattaché à la circonscription d'action régionale de Franche-Comté, avant d'être finalement rattaché à la région Franche-Comté lors de sa création en 1982 à la suite des lois sur la décentralisation. Il demeure aujourd’hui la seule partie de l’Alsace à ne pas être rattaché à la région administrative du Grand Est. Il fait désormais partie de la région Bourgogne-Franche-Comté. (Source Wikipédia)

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LÉGENDE DE LA VILLE
 

 

 
À la fin de la dernière glaciation, il y a 8 à 10 000 ans, le paysage devait plutôt faire penser à la Sibérie actuelle. Plus tard, vers -4 500 ans, l’homme néolithique est présent dans la région, comme l'attestent les vestiges découverts à la fin du XIXe siècle dans les grottes de Cravanche, ancienne nécropole. Le matériel mis au jour lors des fouilles qui ont suivi la découverte de cette grotte est visible au Musée d'histoire et d'archéologie de la ville de Belfort.

D’autres sites néolithiques ont été étudiés autour de Belfort. Celui du Haut-du-Mont, tout proche de la grotte de Cravanche, semble avoir été un atelier de fabrication de haches en aphanite, vu le nombre d’éclats qui ont…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_Territoire_de_Belfort#Pr%C3%A9histoire

 


LA CATHÉDRALE SAINT-CHRISTOPHE
LA CATHÉDRALE SAINT-CHRISTOPHE

 

 

La cathédrale Saint-Christophe de Belfort a été bâtie en tant qu'église abbatiale de 1727 à 1750 par l'entrepreneur Henri Schuller (ou Shuler) sur les plans de Jacques Philippe Mareschal, ingénieur ordinaire du roi à Strasbourg, qui, appelé à la chefferie de Strasbourg, ne pouvait en assurer lui-même l’exécution. Le devis s’élevait à cent quarante six mille trois cent trente quatre livres.

La carrière de grès rose d’Offemont, à trois kilomètres de Belfort, a fourni la pierre nécessaire. Le 12 octobre 1727 on procéda à l’adjudication de la maçonnerie des fondations de l’église et le 16 octobre, le prévôt de la collégiale Jean-Claude Noblat, délégué de son altesse de Grimaldi, procéda à la bénédiction du terrain et de la première pierre de l’édifice. Les fondations furent ensuite conduites avec rapidité. Jacques Philippe Mareschal fit différents plans au long de la construction.

La cathédrale est ouverte au culte en 1750, mais n'est véritablement terminée qu'en 1845, date de construction de la tour sud.

Le fils de Henri Schuller fut abbé dans cette cathédrale.

 

 

https://www.patrimoine-horloge.fr/sh-belfort-stchristophe.html

HISTOIRE DE LA CITADELLE

 

La première implantation de la ville, à la Préhistoire, se trouve sur la colline de la Roche.

En 1226 apparaît la 1ʳᵉ mention d'un château qui change d'apparence à partir des grands travaux qui seront entrepris au cours du XVIe siècle.

Les travaux de Vauban  

Le site est transformé en forteresse à partir de 1640, sous le règne de Louis XIII, puis dans des proportions beaucoup plus larges par les travaux de Vauban qui débutent en 1687 et prennent fin en 1703 (1705 pour les derniers aménagements). Ces travaux se concentrent pour la plus grande partie sur la Vieille Ville dont le système défensif est totalement repensé et modernisé.

Avec cette transformation, la ville de Belfort, qui compte auparavant environ 3 000 habitants, devient une ville de garnison qui compte 5 000 soldats. Vauban organise le complexe défensif autour d’un pentagone fortifié comprenant quatre ouvertures. Deux sont destinées à la circulation (la Porte de France et la Porte de Brisach) et deux autres pour le canal régulant le cours de la Savoureuse, la rivière qui traverse Belfort.

 

https://musees.belfort.fr/citadelle/histoire-de-la-citadelle/du-moyen-age-a-vauban

LA STATUE DU LION EMBLÉMATIQUE

 

Le Lion de Belfort est une sculpture monumentale de 22 m de long et 11 m de haut réalisée de 1875 à 1880 par Frédéric-Auguste Bartholdi, sculpteur Alsacien réputé. Il commémore la résistance de la ville assiégée par les Prussiens durant la guerre de 1870-1871. Un événement marquant pour la ville puisque c’est cet acte héroïque qui lui permettra de rester française, contrairement aux communes Alsaciennes avoisinantes.

Pour Bartholdi le choix de l’emplacement est capital, « il faut que le monument soit bien en vue et s’identifie à la ville ». Les blocs de grès rose taillés puis assemblés contre la falaise calcaire donnent alors naissance à un animal puissant, symbole de fermeté, de résistance, et de vaillance : « le monument représente sous forme colossale un lion harcelé, acculé et terrible encore en sa fureur… ». Cependant, ce n’est pas le Lion de la Revanche. L’attitude du grand fauve doit « glorifier l’énergie de la défense » plutôt que rappeler une victoire ou une défaite… Une partie du musée d’Histoire retrace en ses murs toute la réflexion et le développement du projet.

 

https://www.belfort-tourisme.com/decouvrir/les-incontournables-de-belfort/notre-embleme-le-lion/

AUGUSTE BARTHOLDI

 

Frédéric Auguste Bartholdi, né le à Colmar et mort le à Paris, est un sculpteur et peintre français et, à ses débuts, un photographe amateur de la photographie de voyage.

Il est surtout connu pour avoir conçu La Liberté éclairant le monde, communément connue sous le nom de Statue de la Liberté , construite par Viollet-le-Duc jusqu'à sa mort puis achevée par Gustave Eiffel. Elle est offerte par la France aux États-Unis et érigée en 1886 sur Liberty Island, à l'entrée du port de New York ainsi que du monumental Lion de Belfort, qui célèbre la résistance héroïque de la ville lors du siège de 1870-1871. Ses rares peintures sont généralement signées du pseudonyme d'« Amilcar Hase ».

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Auguste_Bartholdi

L'ANCIEN CHATEAU

 

C’est probablement au XIIe siècle, que fut bâti le tout premier château de Belfort dont il est fait mention en 1226 dans le traité de Grandvillars signé entre Richard de Montbéliard et Frédéric de Ferrette.
Nous en savons peu de choses mais une vue cavalière de 1579 permet cependant d'imaginer ce qu'était l’ensemble fortifié aux siècles précédents.
Le donjon, une tour ronde, crénelée d’environ 30 mètres de haut pour un diamètre au sol de 12 mètres, constituait le dernier réduit défensif. Avec trois étages dont au moins deux voûtés, surmontés d'une plate-forme, il permettait de surveiller les environs.


https://musees.belfort.fr/fileadmin/Minisites/musees/les_ressources_pedagogiques/fiches_pedagogiques/OK_Belfort_Moyen_Age.pdf

LA TOUR DES BOURGEOIS

 




 

Cette tour fut construite aux frais des bourgeois de Belfort sur l'impulsion de Jeanne de Montbéliard après la signature de la charte d'affranchissement octroyée par Renaud de Bourgogne en 1307. Tour d'angle de l'enceinte urbaine, elle permet la surveillance des abords et la protection de la ville. Circulaire, surmontée d'une plateforme crénelée, la tour avait à l'origine trois étages. Elle a été rabaissée par Vauban pour des raisons stratégiques. Cette tour, lieu de réunion des bourgeois en charge de l'administration de Belfort, est considérée comme le premier hôtel de ville. C'est actuellement un des derniers vestiges du château médiéval.
  

UN APERÇU DES PHOTOS DE L'ALBUM
LE LION DE BELFORT

 

 

 

 

L'ALBUM DES PHOTOS

 

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BELFORT EN IMAGE

 

LE COIN des GOURMANDS

 

La recette d'aujourd'hui : LA VÉRITABLE POTÉE FRANC-COMTOISE

 

PRÉPARATION

Éplucher le chou et le laver feuille par feuille.
Plonger les feuilles entières dans 3 l d’eau bouillante additionnée d’une poignée de gros sel, puis les rafraîchir dans de l’eau glacée avant de les égoutter.

Préchauffer le four à 180 °C (th. 6).

Éplucher les carottes, les pommes et le céleri, puis les émincer en tranches de 3 à 4 mm d’épaisseur à l'aide d'une mandoline.
...

INGRÉDIENTS pour 2 personnes

- Saucisse(s) de Morteau : 1 pièce
- Tranche(s) de Poitrine de porc fumée : 1 pièce
- Chou(x) vert(s) : 1 pièce
- Carotte(s) : 2 pièces
...


 

https://www.atelierdeschefs.fr/recettes/23699/la-veritable-potee-franc-comtoise/

POURQUOI SURNOM DE "AS DE TREFLE" ?
 

 

Le 16 avril 1917, le 35e RI est engagé dans la bataille du Chemin des Dames. Avec les régiments de sa division, tous implantés en Franche-Comté : le 42e RI, également basé à Belfort, ainsi que le 44e RI et le 60e RI, à Lons-le-Saunier. Le 47e régiment d’artillerie de campagne (RAC) d’Héricourt, apporte son soutien aux fantassins, avec ses canons de 75 mm. « Le premier jour de la bataille, 700 hommes du 35 sont tués », rappelle l’adjudant-chef Jean-Luc, officier tradition. « Les pertes sont énormes, le général Nivelle s’est entêté à continuer l’offensive », ajoute l’adjudant-chef Maryse, son homologue pour le 44e RI. « Le 22 avril, le Chemin des Dames est un cuisant échec, les hommes savaient qu’ils avaient été sacrifiés et cette erreur stratégique a entraîné une grave crise dans l’armée. »

Les cinq régiments locaux comptent leurs morts et leurs blessés. Le 2 mai, les survivants sont relevés… pour être engagés un peu plus tard à Verdun. Le 6 mai, en hommage au courage des hommes, les quatre régiments d’infanterie...

 

https://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2017/11/30/un-jeu-de-cartes-a-l-origine-des-4-as

 

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