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Randonnée du trou de l'enfer (88)
P'tit Randonneur : photographies - P'tit Randonneur : rédaction article - Jo : correctrice
Le territoire boisé de la commune de Le Tholy s'étend sur plusieurs massifs et recèle de nombreux endroits de promenade pour les visiteurs de la région ou d'ailleurs. Il constitue un tableau représentatif du massif des Hautes-Vosges. Soit en voiture où la montagne ici reste très accessible ou en randonnées à pied faciles en comparaison avec le massif alpin, les curiosités naturelles deviennent un prétexte pour s'imprégner de l'esprit montagnard, bucolique et du calme des forêts environnantes.
SITUATION DU THOLY QUELQUES RENSEIGNEMENTS D'Où VIENNENT TOUS LES SAPINS SYNDICAT D'INITIATIVE
3 Rue Charles de Gaulle
88530 Le Tholy
Tél. 03 29 61 81 82
SITE WEBHÔTEL DE VILLE
3 Rue Charles de Gaulle
88530 Le Tholy
Tél. 03 29 61 81 18
SITE WEBEn ce temps là, nos chères montagnes n’étaient qu’une vaste lande déserte, dont les sommets déjà érodées formaient des vagues de collines tel un océan de pâturages sur un fond de ciel bleuté. Sur la plus élevée de ces éminences vivait un homme au caractère rendu entier par l’absolue solitude dans laquelle il demeurait. Il cultivait un petit potager dans la douce pente qui s’étendait devant sa maison, construite au sommet de la plus haute colline. Lorsqu’il ne travaillait pas cette terre dépouillée, il restait assis sur un banc de bois à regarder l’horizon, les coudes posés sur ses genoux. Le ciel était aussi limpide que la lande...
L'église saint Joseph à Le Tholy - (Promenez vous dans le village à l'aide des flèches et de la souris)CIRCUIT DU TROU DE L'ENFER
Balisage : anneaux jaunes ou disques rouges
Longueur : 7,5 Km
Temps : 2 heures 30
Difficulté : facile
Cartes IGN :
Pensez à vous en munirLe guide des randonnées aux alentours du village est sorti.
Édité par le syndicat d'initiative il propose 3 circuits VTT et 10 circuits de randonnée pedestre balisés décrits en détail et émaillés de conseils et d'anecdotes complétant parfaitement la ballade.
Distance, dénivelé, difficulté, durée, balisage, tout est consigné dans ce recueil de 32 pages disponible au syndicat d'initiative et en mairie pour vous faciliter la découverte du village et des environs.Télécharger le guide du Tholy pour tout voir (fichier PDF 6,5 Mo)Dans les siècles passés, un ménétrier connu fait, en rentrant après une nuit de noce,une rencontre étrange ; un homme bizarre, au regard perçant lui demande de venir jouer pour le bal qu'il donne le lendemain dans un de ses châteaux et lui remet d'autorité une pièce d'or pour paiement. Le ménétrier, pas trop rassuré, demande conseil au curé. Celui-ci lui recommande de jouer, comme convenu et jusqu'à concurrence du salaire perçu, puis d'entonner le Veni Creator qui lui permettra de savoir à qui il a affaire. La nuit même, le joueur de violon se trouve transporté, sans trop savoir comment, au bal. Il se met à jouer et lorsqu'il estime avoir rempli son contrat, il entonne le Veni Creator. Instantanément le château et ses occupants se dissolvent dans un brouillard épais et nauséabond. Et le ménetrier se trouve assis plus mort que vif sur une boule de granit, au fond d'un abîme au bord du Barba. C'est pour cette raison qu'on appelle encore aujourd'hui le lieu le Trou de l'Enfer.La promenade du « Trou de l’Enfer » est charmante. Et, si l’on sait appeler les fantômes, elle est impressionnante. On rencontre des villages aux maisons claires, on dépasse les ruines féodales de Faucompierre noyées dans la verdure, on traverse Rehaupal, et on entre dans la vallée du Barba. On s’avance d’abord dans une nature riante, entre des haies bruissantes de verdiers, de pinsons et de fauvettes, des prairies ruisselantes d’eaux vives et des collines boisées. On n’est pas seul. La chanson des oiseaux, le chuchotement ininterrompu des fontaines, un peu monotone et moqueur, sont d’aimables compagnons. Soudain, on tourne vers la gauche et on entre dans la forêt.
C’est le commencement de la solitude et du mystère. On suit un sentier rocailleux, recouvert de brindilles et d’écorces saignantes qu’y laissent tomber les bûcherons. Sur la droite s’érigent les nobles sapins, les géants vosgiens, aux fûts gris-bleu, aux aiguilles vernissées et sombres, aux rameaux largement étalés et les roches bleuâtres, vétues, comme d’une parure veloutée, de mousses onctueuses. Une grotte creusée au flanc d’un rocher servait de refuge aux chats sauvages. On l’appelle la grotte aux chats.
A gauche, le Barba s’élance en mugissant. Il se faufile, rapide, au travers des blocs de granit. Il se cache sous les oxalis, les fougères et les menthes. On le devine à sa clameur. Ou bien il reparaît par endroits, entre les rocs, et ses remous écumeux semblent des écoulements de perles. L’endroit est sauvage. On y chemine longuement. Il y règne une fraicheur et une obscurité perpétuelles. Et le bruit du torrent, le cri de quelque oiseau peureux n’arrivent pas plus à remplir le silence de la forêt que le soleil à percer le feuillage. L’âme est saisie, de recueillement et presque de crainte devant cette paix majestueuse.
Puis on sort de la forêt. Le ruisseau s’élargit et forme un petit étang. Ses ondes glissent transparentes sur des chevelures vertes. Et l’eau a la pureté du cristal comme les algues chatoyantes ont la richesse des pierreries.
Un peu plus loin, c’est un deuxième étang, une nappe laiteuse, qui semble sommeiller sur un nid de plantes marines, floconneuses et grisâtres comme des moisissures. Le chemin longe la base d’une croupe ensoleillée qui déroule ses pentes couvertes de bruyères et de fougères, avec des taches de rocs et de sapins.
Une pauvre masure s’adosse à la colline. Son toit lie de vin est croulant, ses murs sont couleur de terre. Un menu jardin, enclos de branchages, produit des légumes malingres, étouflés à demi sous les mousses. Un prunier, le tronc rongé de lichens et gercé de crevasses, porte de rares feuilles, et quelques fruits pendent de ses bras maigres, comme oubliés sur un arbre dévasté.Deux vieillards habitent ce gourbi. Ils regardent le passant avec effarement, étant déshabitués du siècle. Ils sont inoffensifs et doux, mais ils paraissent farouches et hostiles. Ils semblent très vieux, oubliés dans leur retraite par la mort comme par les vivants. L’homme travaille dans le jardin. La femme récolte l’herbe courte d’un pré minuscule conquis sur la broussaille : elle fane, accrochée aux flancs de la côte, perdue dans les fougères jaunissantes. Trois poules picorent devant la porte et une vieille chemise flotte au bout d’une perche, pour éloigner les oiseaux de proie.
On rentre dans le bois. Les troncs sont clairsemés, le sol est feutré d’aiguilles et bosselé de saillies rocheuses. Le ruisseau longe le chemin, tranquille et susurrant. On dirait qu’il se familiarise.
Et ses ondes sont si claires et si fraîches qu’on voudrait s’y baigner, marcher sur les cailloux blancs, saisir les truites agiles qui raient l’eau d’ombres furtives. On franchit un fossé et on débouche dans une clairière. On est arrivé.
C’est une longue prairie enclavée de forêts. Les sapins noirs, les rochers gigantesques, les mégalithes, élancés et aigus, fichés dans la terre comme des flèches énormes de la préhistoire, l’entourent d’une triste muraille. Les cimes découpent un lambeau d’azur. La clairière est isolée du monde. Du ciel descend un prodigieux silence. Le cri des buses, qui seul le déchire, en augmente l’effroi.On se sent assiégé de rêveries.
Il y a plusieurs siècles, à la nuit tombée, un ménétrier passait sur la route. Il revenait d’une noce villageoise. Enveloppé dans son manteau, son violon sous le bras, la démarche un peu lasse, il fredonnait des airs qu’il avait joués. Il revoyait en esprit les couples qui tourbillonnaient, il songeait à la course infatigable de son archet, à la fuite éperdue des notes et goûtait par avance un repos bien gagné. Enfoncé dans ses visions, il pensa heurter un homme de grande taille, d’une maigreur singulière, somptueusement vêtu d’une soie ardente et du plus riche brocart. L’homme venait à sa rencontre et arrêta le ménétrier. Il l’interpella, lui dit des paroles flatteuses, touchant son art et son reriom, et lui proposa sans plus d’exorde : « Reviens ici demain à cette heure. Je te mènerai dans mon château où je dois donner un bal. Tu feras danser mes invités. Je te paierai en monnaie d’or. Prends déjà cet acompte » Et il glissa dans la main du ménétrier une pièce qui fulgura.
Le violoneux, dans sa simplicité, ne s’étonna point de l’aventure. Il ne remarqua point l’allure mystérieuse de l’homme, sa taille ni sa maigreur. Il ne vit même pas que sur son riche costume couraient comme des lueurs de flammes, que ses yeux, pareils à deux charbons illuminaient la nuit ; non plus qu’une bande d’oiseaux nocturnes qui menaient une ronde autour du voyageur s’étaient abattus sur les arbres de la route et restaient immobiles, poussant comme des soupirs, une plainte lointaine. Il se réjouissait de l’aubaine et n’avait pas d’autres pensées. Nul doute qu’il dût sa bonne fortune à son talent de musicien, à sa réputation, aux sons puissants et doux que, sous les morsures de l’archet, exhalait l’âme de son violon. Il jura d’être exact au rendez-vous. Il le fut.
Le lendemain à pareille heure, à pareille minute, il se retrouvait au même endroit. Il vit un palais, dont la masse, plus haute que les montagnes, était plus sombre que la nuit. Mais par les baies des fenêtres et du portail jaillissait un flamboiement d’incendie. Le violoneux eut peur, mais, s’enhardissant, il franchit le porche largement ouvert et il pénétra dans le château.
Il entra dans une salle aveuglante. Les murs, les colonnes, les plafonds, les parquets étaient d’or et l’éclat de lumières invisibles ruisselait sur les lambris.C’était un rayonnement de feu. La salle était vide et dans le palais régnait un inquiétant silence. Le ménétrier fut ébloui, comme d’un éclair en plein visage. Il se ressaisit tout de suite et comprit qu’il avait mis le pied dans la demeure infernale. Lentement, solennellement, il décrivit, dans l’air le signe de la croix.
Le château s’écroula, les lumières s’éteignirent, les choses s’évanouirent dans une vapeur de soufre et le ménétrier se trouva transporté, son violon sous le bras, son manteau le drapant, parmi les terreurs de la nuit, au milieu de la clairière.
C’est pourquoi les villageois ont appelé ce lieu de beauté et d’horreur le « Trou de l’Enfer ».
Texte paru en 1911 dans la revue Le Pays Lorrain
Tags : tholy, route, chemin, enfer, rando88-8
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Commentaires
La promenade du « Trou de l’Enfer » est charmante. Et, si l’on sait appeler les fantômes, elle est impressionnante. On rencontre des villages aux maisons claires, on dépasse les ruines féodales de Faucompierre noyées dans la verdure, on traverse Rehaupal, et on entre dans la vallée du Barba. On s’avance d’abord dans une nature riante, entre des haies bruissantes de verdiers, de pinsons et de fauvettes, des prairies ruisselantes d’eaux vives et des collines boisées. On n’est pas seul. La chanson des oiseaux, le chuchotement ininterrompu des fontaines, un peu monotone et moqueur, sont d’aimables compagnons. Soudain, on tourne vers la gauche et on entre dans la forêt.
C’est le commencement de la solitude et du mystère. On suit un sentier rocailleux, recouvert de brindilles et d’écorces saignantes qu’y laissent tomber les bûcherons. Sur la droite s’érigent les nobles sapins, les géants vosgiens, aux fûts gris-bleu, aux aiguilles vernissées et sombres, aux rameaux largement étalés et les roches bleuâtres, vétues, comme d’une parure veloutée, de mousses onctueuses. Une grotte creusée au flanc d’un rocher servait de refuge aux chats sauvages. On l’appelle la grotte aux chats.
A gauche, le Barba s’élance en mugissant. Il se faufile, rapide, au travers des blocs de granit. Il se cache sous les oxalis, les fougères et les menthes. On le devine à sa clameur. Ou bien il reparaît par endroits, entre les rocs, et ses remous écumeux semblent des écoulements de perles. L’endroit est sauvage. On y chemine longuement. Il y règne une fraicheur et une obscurité perpétuelles. Et le bruit du torrent, le cri de quelque oiseau peureux n’arrivent pas plus à remplir le silence de la forêt que le soleil à percer le feuillage. L’âme est saisie, de recueillement et presque de crainte devant cette paix majestueuse.
Puis on sort de la forêt. Le ruisseau s’élargit et forme un petit étang. Ses ondes glissent transparentes sur des chevelures vertes. Et l’eau a la pureté du cristal comme les algues chatoyantes ont la richesse des pierreries.
Un peu plus loin, c’est un deuxième étang, une nappe laiteuse, qui semble sommeiller sur un nid de plantes marines, floconneuses et grisâtres comme des moisissures. Le chemin longe la base d’une croupe ensoleillée qui déroule ses pentes couvertes de bruyères et de fougères, avec des taches de rocs et de sapins.
Une pauvre masure s’adosse à la colline. Son toit lie de vin est croulant, ses murs sont couleur de terre. Un menu jardin, enclos de branchages, produit des légumes malingres, étouflés à demi sous les mousses. Un prunier, le tronc rongé de lichens et gercé de crevasses, porte de rares feuilles, et quelques fruits pendent de ses bras maigres, comme oubliés sur un arbre dévasté.Deux vieillards habitent ce gourbi. Ils regardent le passant avec effarement, étant déshabitués du siècle. Ils sont inoffensifs et doux, mais ils paraissent farouches et hostiles. Ils semblent très vieux, oubliés dans leur retraite par la mort comme par les vivants. L’homme travaille dans le jardin. La femme récolte l’herbe courte d’un pré minuscule conquis sur la broussaille : elle fane, accrochée aux flancs de la côte, perdue dans les fougères jaunissantes. Trois poules picorent devant la porte et une vieille chemise flotte au bout d’une perche, pour éloigner les oiseaux de proie.
On rentre dans le bois. Les troncs sont clairsemés, le sol est feutré d’aiguilles et bosselé de saillies rocheuses. Le ruisseau longe le chemin, tranquille et susurrant. On dirait qu’il se familiarise. Et ses ondes sont si claires et si fraîches qu’on voudrait s’y baigner, marcher sur les cailloux blancs, saisir les truites agiles qui raient l’eau d’ombres furtives. On franchit un fossé et on débouche dans une clairière. On est arrivé.
C’est une longue prairie enclavée de forêts. Les sapins noirs, les rochers gigantesques, les mégalithes, élancés et aigus, fichés dans la terre comme des flèches énormes de la préhistoire, l’entourent d’une triste muraille. Les cimes découpent un lambeau d’azur. La clairière est isolée du monde. Du ciel descend un prodigieux silence. Le cri des buses, qui seul le déchire, en augmente l’effroi.
On se sent assiégé de rêveries.
Il y a plusieurs siècles, à la nuit tombée, un ménétrier passait sur la route. Il revenait d’une noce villageoise. Enveloppé dans son manteau, son violon sous le bras, la démarche un peu lasse, il fredonnait des airs qu’il avait joués. Il revoyait en esprit les couples qui tourbillonnaient, il songeait à la course infatigable de son archet, à la fuite éperdue des notes et goûtait par avance un repos bien gagné. Enfoncé dans ses visions, il pensa heurter un homme de grande taille, d’une maigreur singulière, somptueusement vêtu d’une soie ardente et du plus riche brocart. L’homme venait à sa rencontre et arrêta le ménétrier. Il l’interpella, lui dit des paroles flatteuses, touchant son art et son reriom, et lui proposa sans plus d’exorde : « Reviens ici demain à cette heure. Je te mènerai dans mon château où je dois donner un bal. Tu feras danser mes invités. Je te paierai en monnaie d’or. Prends déjà cet acompte » Et il glissa dans la main du ménétrier une pièce qui fulgura.
Le violoneux, dans sa simplicité, ne s’étonna point de l’aventure. Il ne remarqua point l’allure mystérieuse de l’homme, sa taille ni sa maigreur. Il ne vit même pas que sur son riche costume couraient comme des lueurs de flammes, que ses yeux, pareils à deux charbons illuminaient la nuit ; non plus qu’une bande d’oiseaux nocturnes qui menaient une ronde autour du voyageur s’étaient abattus sur les arbres de la route et restaient immobiles, poussant comme des soupirs, une plainte lointaine. Il se réjouissait de l’aubaine et n’avait pas d’autres pensées. Nul doute qu’il dût sa bonne fortune à son talent de musicien, à sa réputation, aux sons puissants et doux que, sous les morsures de l’archet, exhalait l’âme de son violon. Il jura d’être exact au rendez-vous. Il le fut.
Le lendemain à pareille heure, à pareille minute, il se retrouvait au même endroit. Il vit un palais, dont la masse, plus haute que les montagnes, était plus sombre que la nuit. Mais par les baies des fenêtres et du portail jaillissait un flamboiement d’incendie. Le violoneux eut peur, mais, s’enhardissant, il franchit le porche largement ouvert et il pénétra dans le château.
Il entra dans une salle aveuglante. Les murs, les colonnes, les plafonds, les parquets étaient d’or et l’éclat de lumières invisibles ruisselait sur les lambris.C’était un rayonnement de feu. La salle était vide et dans le palais régnait un inquiétant silence. Le ménétrier fut ébloui, comme d’un éclair en plein visage. Il se ressaisit tout de suite et comprit qu’il avait mis le pied dans la demeure infernale. Lentement, solennellement, il décrivit, dans l’air le signe de la croix.
Le château s’écroula, les lumières s’éteignirent, les choses s’évanouirent dans une vapeur de soufre et le ménétrier se trouva transporté, son violon sous le bras, son manteau le drapant, parmi les terreurs de la nuit, au milieu de la clairière.
C’est pourquoi les villageois ont appelé ce lieu de beauté et d’horreur le « Trou de l’Enfer ».
J'adore cette histoire, quand je pense que je suis passée tout près brrrr ...
Aujourd'hui, un beau jour , tous les jours sûrement lorsque l'on vit à deux mais
Bonne fête Valentin & Valentine et merci pour votre si étroite collaboration.
Bonne soirée Alain
Bise
Christiane
Tu parles si je connais le Trou de l'Enfer,
ce n'était pas loin de ma jeunesse, Le Tholy, Gérardmer
Encore une belle région boisée et ça sent bon le sapin.
hihihihihi
Pour l'article suivant, Vogüé me convient parfaitement
et je n'ai pas l'intention de revenir la 2em semaine.
hihihihihi
chez nous, soirée spéciale St Valentin
hihihihi
Salut mon cher Alain
Bonsoir mon cher Alain
Je viendrai admirer tes belles photos demain, effectivement une belle légende mais çà fait peur et le trou de l'enfer oh là là !!!! je découvre cet endroit Vosgien que je ne connaissais pas.
Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction. Bonne Saint-Valentin.
Je te souhaite une excellente soirée.
Gros bisous d'amitié de mon ti rocher.
5beaulieu63570Mardi 14 Février 2017 à 17:51une randonnée pas très rassurante par son nom , mais une randonnée très intéressante par son histoire et ses légendes.Les Vosges , une belle région boisée...Bonne soirée...Jacques
Impossible pour moi d'aller sur l'article à paraître sur l'Ardèche,
alors je tente ici les 7 plus beaux villages de cette région :
Saint-Montan et son château
Vallon-Pont-d’Arc : le préhistorique
Banne : un fort gigantesque
Naves : le plus petit
Labeaume : en musique
Balazuc : vertigineux
Vogüé : les seigneurs du Vivarais
Lequel, j'attendrais ton prochain article Alain .....
Ah, nous nous sommes croisés ! je n'ai pas vu ton article tout à l'heure !!!
Ah la façon de lire tes photos est mieux pour voir.... comme ça, ça défile bien,
Une belle randonnée entourée de montagnes !!Une petite cascade sympa !!
un circuit assez boisé, j'aime beaucoup, superbes photos, et cette légende !!
Tu m'as appris un mot , le ménétrier, je suis allée voir sur internet, c'est un musicien des fêtes de villages ;
ben non, je ne savais pas !!!!! mais quelle légende !!! et pas des plus simples !!!!
Re ....... bonne soirée, bisousBonjour Alain,
Quelle superbe promenade, c'est magnifique. Le paysage est vraiment superbe, j'ai adoré.
Une très bonne fête de saint Valentin à tous les deux. Je vous embrasse très fortJosiane
Magnifique article ! belles légendes que celle des sapins et du trou de l'enfer ! superbes photos, ça donne envie, en plus j'adore l'odeur des sapins et autres conifères (ça me fait penser que j'ai bu à midi de la liqueur de bourgeons de mélèzes que j'ai faite moi même après cueillette en juin 2015- je ne l'avais pas ouverte depuis)
Bonne Saint Valentin à toi et ta Valentine, belle soirée!
Gros bisous.
MF
C'est une drôle d'histoire le pauvre il a mal fini. J'espère que vous avez passé une bonne St Valentin, nous léger léger !!!! Nous avons eux une journée de printemps. Bisous bonne soirée et bon mercredi a vous deux, caresses aux quatre pattes
Bonsoir mon tit @lain,
Pas bien le temps, mais, j'espère que tu as passé une bonne journée avec ta petite femme.
Bisous et douce soirée
Bonjour Alain
bien sur que oui on fête la st-valentin en Chine, même deux fois, car il y a aussi la st-valentin chinoise a une autre date
la réponse des photos mystère est en ligne
Bonne journée
Avec amitiés
René de Chine
Bonjour Alain
un plaisir chaque matin
de faire connaissance de lieux magnifiques.
Un deuxième après midi
avec soleil et un ciel clair
plus de quinze degrés.
Je vous souhaite
un très bon Mercredi
avec tous ce que vous désirez
au plus profond de vous.
Amitiés
56MELDIX77
Le Briard Breton
AUJOUR D'HUI c'est
http://aveclaphoto.eklablog.com/
Bonjour Alain
Super je vois que tu as mis un autre article mystère mais Ardèche ne serait-ce pas "Voguë" en tout cas cela ressemble mais bon je pense qu'il y en bien d'autres. j'espère que votre saint Valentin c'est bien passé. pour moi c'est ne pensée comme les autres jours on ne peut oublier ses souvenirs. Ce matin le ciel n'était pas très beau mais là il commence à s'éclaircir et les soleil ne tardera pas je l'espère, j'ai fait mon petit tour au jardin hier et mes rosiers commencent à avoir de toutes petites feuilles qui pointent le bout de leur nez bientôt les arbres et la nature se réveillera après sont long sommeil sur ce je vais te souhaiter une douce journée gros bisous
Marlène
Bonjour Alain .
J'espère que comme nous la St Valentin , c'est bien passée .
Pour nous , ça ne change pas grand chose après presque 50 ans de mariage , à l'heure actuelle ils s'aiment quelque temps et puis basta .
Je te souhaite un bon Mercredi .
Amitié , bisou de Maria .
Je vais essayer de trouver ce village , j'en ai une vague idée .
C'est avec plaisir Alain que tu peux utiliser le texte sur "le trou de l'Enfer" de Rehaupal
AU FIL DES MOTS ET DE L'HISTOIRE
http://aufildesmotsetdelhistoire.unblog.fr/2009/06/04/le-trou-de-lenfer-de-rehaupal/
Tu sais ce n'est pas la peine de citer mon nom, je l'ai trouvé sur Google, merci surtout de me rendre "fouineuse" avec tes articles que j'apprécie beaucoup ...
et j'attends pour plus tard : Vogué (les Seigneurs du Vivarais) .
Bonne journée à toi et Bises de Christiane
lendemain de St Valentin
Bonjour mon cher Alain,
il fait beau les oiseaux chantent et j'en ai marre de faire
la police, il y a trop de zozios.
Ils deviennent gras comme des moines.
Bon voila, on a refermé la page de la 52em St Valentin,
hé oui on a le rythme dans la peau.
Passe une bonne journée.
Bises
J'ai été particulièrement attentif, à cet article.
Étant moi même, un peu le régional de l'étape.
Et là, j'en ai eu pour mon argent, deux légendes, celle di trou de l'Enfer et celle
de l'origine des essences de la forêt.
Là, les bois de meubles sacrifiés au Dieu des flammes, sont devenues
autant d'espèces d'arbres, dans nos forêts. Et à chacune, une utilisation particulière.
Merci pour ce moment d'évasion sylvestre.
Amicalement. Yann
Kikou mon p'tit randonneur
Je ne cherche plus la ville à trouver car tu ne lis pas les commentaires alors ça ne sert a rien de ce décarcasser lol comme dirait Ducro
Une belle randonnée bien boisé avec une petite cascade ça devait être agréable
Tu as changé la présentation de tes photos !
Je te souhaite une bonne journée, bisous
Contrairement à mon Cricri d' amour , je ne connais pas le Trou de l' Enfer où alors je ne m' en souvient plus , j' ai fait tellement de promenade dans les Vosges , j' y ai même travaillé , hé oui à Senones dans une colonie sanitaire ha ha ha . Tout y était beau c' est une jolie région peut-être même un peu méconnue .
Alors sur cette belle promenade , je t' envoi de gros bisous marseillais sous le soleil .
St Valentin à la maison , mais super soirée avec plateau de fruits de mer .
Renée (mamiekéké).
Bonjour, le diable est source de nombreuses légendes; ce sont des paysages qui me parlent, je connais bien ce coin des Vosges, je te souhaite une bonne journée, bisous
bonsoir, je connais un peu le coin, pas de rando mais on est passé par là on avait dormi à Gerardmer pour aller en Alsace !! un petit détour
bonne soirée
Bonsoir mon cher Alain
J'adore les Vosges et j'ai eu l'occasion de visiter beaucoup d'endroits mais j'ai le regret de ne pas connaître le trou de l'enfer mais un trou comme cela c'est d'enfer au niveau beauté, car j'ai regardé tes beaux clichés et c'est splendide, j'aime cette belle nature, une belle forêt bien boisée, c'est vraiment splendide et grâce à toi je découvre et j'aime ainsi qu'une légende que je découvre que du bonheur, merci pour cet excellent partage, moi la Lorraine çà me fait chaud au coeur, car quand j'habitais gamine en 54 c'était un petit bled pas loin des Vosges et comme j'en ai passé des vacances dans les Vosges et en Alsace dans ce temps là mais le trou de l'enfer moi pas avoir connu arffffff !!!!! mais je me rattrape chez toi LOL !
Douce nuit étoilée gentil randonneur et gros bisous d'amitié de mon île intense.
Mamiekéké ne connaît pas le Trou de l'Enfer ?
Pourtant , souvent elle me dit (gentiment, hein!) tu es le Diable
hihihihihihi.
Bon, c'est pas grave, on lui fera visiter le trou.
Non finalement pour la 52em édition de la St Valentin,
nous avions décidé de faire le plateau de Fruits de Mer,
à 200m de chez nous il y a l'un des meilleurs écaillers de Marseille
donc on se laisse faire quelques fois et il nous prépare le plateau avec ce que l'on veut.
Chez lui nous avons d'ailleurs connu les huîtres Gillardeau, la Rolls des huîtres,
si vous aimez, il faut choisir cette marque; attention le prix.
J'adore les huîtres, on a l'impression d'embrasser la mer sur la bouche.(Léon-Paul Fargue)
hihihihi
D'ailleurs pour lutter contre la contrefaçon, les huîtres sont gravées avec G.
Bon il y avait d'autres choses, on ne mange pas que des huîtres,
de la Poutargue, tu connais, ça aussi c'est bon.
Enfin voilà un plateau digne de la Mer.
Ce soir d'ailleurs, il y a tagliatelles avec huile d'olive
et fines lamelles de poutargue .
Tiens je vais mettre la table.
Bon appétit
Bonne soirée mon cher Alain.
Bises
Nous avons eux une deuxième journée de printemps 18° j'espère qu'il en et de même chez vous. Bisous bonne soirée et bon jeudi a vous deux, caresses aux quatre pattes
30SonyaMercredi 15 Février 2017 à 21:05Bonsoir @lain,
Nous avons eu une journée de printemps avec 16° , ça fait remonter le moral !
J'ai bêché à des endroits pour que l'herbe pourrisse ! il y en avait besoin !
J'ai amené mon petit fils au cinéma voir un dessin animé, je l'ai prévenu
que j'allais dormir et de me taper , il l'a fait 3 ou 4 fois , hi,hi,hi , moi si je ne
fais rien, je dors !! il voulait tant voir ce film , c'était mignon avec de belles couleurs !
J'ai bien aimé malgré ma sieste ! lol
Youpi, j'ai trouvé le village de ton prochain article d'un seul coup, pourtant je ne connais pas, heureusement qu'il y a google ! As tu fait cette rando du trou de l'enfer ? je pense que oui !!!
Je te souhaite un bon mercredi, tu vas répéter ? je te fais de gros bisousBonjour Alain
he oui, et n'oublie pas DEUX st-valentin ici
la photo mystère pour rire est en ligne
Bonne journée
Avec amitiés
René de Chine
bonjour, pour ton prochain article je connais aussi, nous avons passé une semaine dans le secteur je pense à Vogue , il y en a beaucoup dans le secteur, même des non classés qui mériteraient le label
bonne journée
mais pourquoi aller déjà en enfer.... ..et en plus dans le trou, enfin au centre...je me comprends.....pas eu de nouvelles du temps hier de l'autre côté de l'atlantique, j'espère qu'ils ne sont pas envahis par le froid et la neige....par contre ici hier la journée a été belle et surtout ensoleillée, pourvu que ça dure.....passe un très agréable jeudi
Bonjour Alain
Oh je n'avais pas vu ton album hier il faut dire que je me suis laisser emporter par ta devinette, je me serais bien assise au bord du ruisseau à écouter le chant de l'eau avec le beau soleil que nos avons aujourd'hui c'est un vrai bonheur j'espère qu'il nous tiendra compagnie toute la journée car hier après midi il nous a fait faut bond. mais il faut se consoler en nous disant que nous approchons du printemps ma saisons préféré. pour le village de l'Ardèche je le connais bien car j'ai une couple d' amis qui habite ce village. Je vais te souhaite une douce journée gros bisous avec toute mon amitié
Marlène
coucou Alain
je n'avais pas vu ton deuxième com oui je pense qu'ils ont du se régaler tes petits neveux j'aime bien en visiter mais surtout j'aimerai visiter le zoo de la Flèche dans la Sarthe je le regarde chaque fois qu'il passe à la télé. Des oiseaux j'en ai tout une ménagerie qui viennent tout les matins dans mon jardin ils savent ou il y a à manger, je vais leur faire payer la pension car ils amènent tout les copains (rire) alors maintenant j'ai même deux tourterelles je pense que c'est le couple ils sont toujours ensemble et une grive draine elle est belle toute tacheté sous la poitrine, plus des moineaux, des verdiers, des chardonnerets j'en 8 cette année alors que d'habitude il n'y en avait que deux les autres années il faut crois que le resto leur plait , de ces dernier certains en fond du commerce pauvre chardonneret ils sont tellement beaux et tellement heureux en liberté d'ailleurs ils en ont parlé à la télé je ne sais pas si tu as suivi la personne à été condamné. avec sursis, ah oui j'ai aussi un pie vert mais je ne l'ai pas revue peut-être que le restaurant ne lui à pas mais les autres apprécie beaucoup
douce journée bisous
Marlène
Une petite visite ce matin pour te souhaiter une bonne journée, ici temps printanier 6° en ce moment, prévu 15 dans la journée, je crains qu'on le paye en mars. Cet après midi: conférence au club, demain cinéma avec ma voisine, j'ai jamais été aussi occupée qu'en ce moment.. Gros bisous, Alain, MFBonjour mon cher Alain,
meuh Non la Poutargue c'est une poche d’œufs de mulet, salée et séchée.
Une spécialité de Martigues (à côté de Marseille)rare et luxueuse, on la nomme aussi « caviar de Méditerranée ». On en trouve aussi venant du Maroc et d'autres pays.
Une merveille !
Je mets la table, mais je fais aussi la cuisine;
je prends la commande du menu, le matin auprès de Mamie et je m’exécute
hihihihi
oui enfin c'est le verbe exécuter, accomplir, réaliser.....je vais pas me tirer une balle dans la tête
hihihihi
Une journée sensationnelle, calme ensoleillée, on ira facilement vers 18°.
Bonne journée mon cher Alain
Bises
Bonjour Alain,
Magnifique balade en suivant tes pas et ton APN....Merci du partage
Bonne fin de journée
amitiés
Bonjour
c'est avec le soleil ,que je vient te souhaiter une bonne fin de semaine avec 23°.
amitiés marc
A paraître en Ardèche: Vogüé
Une belle foret comme je les aime avec ruisseau, cascades et de la mousse pour faire la sieste ( enfin! si c'est pas trop humide)...
Bonne après midi, bisous.
À LA DÉCOUVERTE DE VOGÜÉ (07)
C'est kaput, le monsieur a cassé l'URL
Au secours !
Help
hihihihihi
coucou
je ne navigue pas beaucoup car la forme revient mais doucement , il parait qu'il faut que je me repose , on verra
bonne journée
bisousssssssssss
Bonjour Alain et Josette, boudu le trou de l'enfer çà fait peur lol.. intéressante la légende ainsi que tes explications. Une belle promenade en photos merci pour ce partage.
Je vous souhaite un bon week end et vous envoie plein de bisous. Des cajoles à ma Chiara et à Minette.
chatou
Bonjour @lain .
La chanson ☺ ♫ Même si tu revenais ☺♫ interprétée par GILLES DOMINIQUE
a vraiment été enregistrée , telle que l 'on peut l 'écouter sur mon blog .
Cette chanson fait partie de ma discothèque personnelle et je l 'ai encodé par moi - même .
J 'avais entendu parler du " Trou de l 'enfer " sans savoir ou il se situait
vraiment .
La réponse m 'est donnée grâce à ton article .
MERCI .
Bon début de semaine .
Amicalement ... Daniel .
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Lundi 20 Février 2017 à 09:08
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Bonjour
c'est avec un temps gris que vient te souhaiter une bonne semaine ,il fait 11° hier c'était pluie toute la journée,mais le printemps ,n'est pas loin amitiés marc
Bonjour Alain très joli balade mais légende un peu gloque mdrrrr , euhhh pour ton info jamais était en Allemagne mdrrrr Estavayer c'est Suisse , merci à toi de tes passages , amitié d'Auvergne
Bonjour
c'est avec un soleil timide que je te souhaite une bonne fin de semaine ,les mâtinés sont fraîche ,amitiés marc
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Bonsoir Alain , oui quelle belle légende mais un peu inquiétante ! .
Bonne fin de journée et merci pour ta balade si intéressante , bises , escapade ,