• UN MUSÉE A DECOUVRIR !

    Abrité dans une ancienne usine du 19e siècle, le Musée de la Nacre et de la Tabletterie de Méru (Oise) s’efforce de conserver et de mettre en scène un artisanat local autrefois florissant en passe de disparaître.

    Les métiers de boutonnier et de tabletier, porteurs d’une tradition multiséculaire du travail de la nacre et de matières semi-précieuses (corne, écaille, ivoire, os, bois exotiques, etc.) vous y seront exposés par des guides démonstrateurs.

    Pas à pas, vous découvrirez avec eux la fabrication d’un bouton de nacre dans un atelier de boutonnier fidèlement reconstitué et activé par une machine à vapeur.

    Vous pourrez admirer, dans les salles d’exposition, de superbes pièces de collection tels que : éventails et objets de tabletterie (couverts, jumelles, objets de culte, dominos, etc..) présentés dans des meubles de découverte ludiques.
    Pour vous guider

    Situation nationaleOFFICE DU TOURISME DE MERU
    100, rue des Martyrs de la Résistance
    Tél. 03 44 84 40 86
    SITE WEB



    Situation localeLE MUSEE

    51, rue Roger Salengro
    Tél. 03 4
    4 22 61 74
    SITE WEB

    LA MAIRIE
    Place de l'Hôtel de ville
    Tél. 03 44 52 36 00
    SITE WEB 

     

    LE MUSEE DE LA nacre...

    C'est au 16e siècle que la tabletterie s’implante à Méru et dans ses environs. En hiver, à la morte saison, quand le travail aux champs était à l’arrêt, les paysans réalisaient de menus travaux de tabletterie qui leur assuraient un revenu de subsistance.

    Plus tard, au 19ème siècle, l’activité se développe et s’industrialise. En effet, c’est à cette époque que la production conséquente d’objets en nacre, et particulièrement de boutons, vaut à Méru le surnom de «CAPITALE MONDIALE DE LA NACRE».

    Le Musée de la Nacre et de la Tabletterie est installé dans une ancienne usine inscrite aux Monuments Historiques. L’histoire de ces hommes et de leurs techniques y est révélée dans les ateliers reconstitués où des démonstrations sont réalisées. Le parcours continue dans l’espace d’exposition permanente où vous découvrirez les objets issus de la tabletterie.

     
    Un peu d'histoire de la ville
     

    Gare de Méru au début du 20eme siècleMérudium, Mairiu, Matrius, Méruacum... l'origine du nom de Méru se perd dans les méandres de l'histoire, mais semble remonter à l'âge celtique. Par ailleurs, les fouilles menées sur le site de la station d'épuration ont confirmé la présence d'habitats datés du haut empire gallo-romain au IIème siècle après J.C.

    Des différentes tribus qui occupaient les lieux, on peut retenir les Bellocassi dans la partie Sud et Ouest du canton de Méru et les Silvanectes qui occupaient la partie Est.

    Après la conquête de Jules César, la région est intégrée à la province de Belgique (Gaulle transalpine).

    Au IVème siècle, sous Dioclétien, la contrée reste dans la seconde Belgique dont Reims était la métropole; Méru se trouve alors presque à cheval sur la voie romaine allant de Beauvais à Pontoise et Paris.

    Cette voie est connue sous le nom de "Chemin de la Reine Blanche".


     Le musee de la nacre et de la tabletterie
    L'église saint-lucien

    ...est une église catholique paroissiale située à Méru, dans l'Oise, en région des Hauts-de-France, en France. C'est un vaste édifice issu de plusieurs campagnes de construction entre la fin du XIe siècle et 1678, qui se caractérise par une nef lambrissée de six travées d'une facture simple, bordée par un bas-côté Renaissance au sud et un bas-côté moderne au nord, et débouche à l'est sur la base du clocher roman remaniée à la période gothique. Aucun élément roman ne subsiste à l'intérieur de l'église, et à l'extérieur, le clocher de 1511 avec sa haute flèche en charpente de 1511 dissimule la vieille tour, excepté la face ouest de son dernier étage. Comme particularité, la base du clocher ne communique pas avec les deux croisillons ajoutés au XVIe siècle, dont celui du sud se prolonge vers l'est par une petite chapelle. À l'est, un chœur gothique de deux travées, terminé en chevet plat, fait suite à la base du clocher. Mal visible depuis la nef, il constitue toutefois la
    C'est de l'histoire ancienne

    Une des fabrications : les dominosAu XVIIIème et XIXème siècles, paysans sans terres suffisantes pour nourrir leurs familles, les habitants de l’Oise, au nord de Paris, ont complété leurs revenus en travaillant le textile, la dentelle, la céramique et l’artisanat de luxe, avant de servir de main d’oeuvre à diverses industries.

    Dans la région de Méru et du Pays de Thelle et dans celle de Noailles, ils se sont fait tabletiers. Ils ont utilisé l’os, le bois, puis l’ivoire, la corne et la nacre. Dans les villages des environs, à Sainte-Geneviève et à Andeville, ils ont exercé leur activité l’hiver, à domicile ou dans de petits ateliers.

    Chacun avaient sa spécialité: montures d’éventails, objets divers (bijoux, nécessaires de toilette ou de cuisine, instruments liturgiques, jeux) dominos, puis boutons, et accomplissaient une tâche particulière: ébauche, façonnage, découpe, gravure ou décoration. Des marchands tabletiers venaient dans les villages récupérer les pièces et les vendaient aux grossistes parisiens…


    Le coin des gourmands : la ficelle picarde

    La création de la véritable ficelle picarde remonte aux années 1950. Le cuisinier Marcel Lefèvre imagina ce plat pour une foire exposition à la Hotoie, à Amiens, où un repas était servi aux notables du département. Pour l’événement, plusieurs restaurateurs amiénois connus devaient contribuer à l’élaboration d’un menu original. Depuis, la ficelle picarde a fait souche, au point de devenir l’un des symboles de la cuisine régionale…

    Ingrédients

    (pour 4 personnes)
    Pour la pâte à crêpe :
    150 g de farine
    40 cl de lait (d’eau ou de bière)
    2 cuil. à soupe d’huile ou de beurre fondu..

    A vos fourneaux
    Voir la recette

    Le musée de la nacre et de la tabletterie en 6 panneaux
    L'HISTOIRE ET LE TRAVAIL DE LA NACRE (Un clic pour ouvrir les panneaux)

    Histoire de famille

    Histoire de famille

    Introduction

    Introduction

    D'où vient l'écail

    D'où vient l'écaille

    L'écaille et les hommes

    L'écaille et les hommes

    Le travail de l'écaille

    La travail de l'écaille

    L'atelier de M. Pecquet

    L'atelier de M. Pecquet
     Le musée de la tabletterie (Episode 1)


    Les machines en fonction (Episode 2)


    Les éventails (Episode 3)



    La rivière Oise

    L'Oise (prononcé [waz]) est une rivière du Bassin parisien dans le Nord de la France et en Belgique, principal affluent de la Seine, après la Marne.

    Elle prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude dans le massif forestier dit Bois de Bourlers, dans l’ancienne commune de Forges au sud-est de la ville hennuyère de Chimay. Cette rivière au cours de 341 kilomètres1, presque entièrement navigable et bordée de canaux sur 104 kilomètres, baigne Hirson, Guise, Ribemont, La Fère où elle reçoit la Serre, la ville de Compiègne en amont de laquelle elle reçoit un gros contributeur, l'Aisne, l'agglomération de Creil près de laquelle elle reçoit sur sa rive droite, en amont la Brêche et en aval le Thérain, puis longe la forêt de Chantilly avant d'atteindre Pontoise.

    L'Oise se jette dans la Seine à 20 mètres d'altitude, au Pointil en rive droite et en aval du centre de Conflans-Sainte-Honorine dans le département des Yvelines. L'Oise a donné son nom aux départements de l'Oise et de l'ancienne Seine-et-Oise créés en 1790 ainsi qu'au département du Val-d'Oise créé en 1968.

    Un clic pour ouvrir l'album photos

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