• Terrasson-Lavilledieu (6 362 hab - Insee 2012) est la première ville du Périgord que vous rencontrerez en venant du Nord ou de l'Est de l'Europe.

    A la porte du Périgord, au carrefour des trois provinces que sont le Limousin, le Quercy et bien sûr le Périgord, au cœur de la Région Nouvelle Aquitaine, la cité de Terrasson-Lavilledieu domine un des joyaux de l'espace naturel français, la vallée de la Vézère, classée patrimoine de l'humanité par l'UNESCO.

    Cette position privilégiée fait aujourd'hui de Terrasson-Lavilledieu le trait d'union incontournable d'une longue promenade qui mènera le visiteur des maisons rouges de Collonges au gouffre de Padirac, des pierres médiévales de Sarlat aux grottes de Lascaux, pour ne citer que quelques pièces d'une riche litanie de merveilles. 

    De Terrasson-Lavilledieu, le visiteur pourra tout voir, car il se trouve là au cœur d'un espace d'une qualité mondialement reconnue, pour ses paysages, pour son architecture et bien sûr sa gastronomie. Terrasson-Lavilledieu est aussi et surtout la Ville des Jardins.

    Au centre d'une unité urbaine de 10 000 habitants,Terrasson est la ville centre d'un bassin de vie de près de 30 000 personnes. Sa forte densité industrielle et ses infrastructures en font une commune urbaine de 40 km2, partagée entre la ville ancienne qui domine la Vézère, la ville "nouvelle" et tous les bourgs et hameaux qui parsèment la campagne environnante. Dotée de 16,3 km de routes départementales, de 9 km de routes départementales et surtout de 160 km de routes communales, Terrasson est une ville aux nombreux accès et aux nombreux moyens de communication. (Extrait du site de la ville de Terrasson)

     SITUATION   RENSEIGNEMENTS UTILES    LA LÉGENDE À TERRASSON-LAVILLEDIEU

    Situation nationale

    Situation locale

      OFFICE DU TOURISME
    Rue Jean Rouby
    24120 Terrasson-Lavilledieu
     
    Tél. 05 53 50 37 56

     SITE WEB


    MAIRIE
    12 Avenue Charles de Gaulle
    24120 Terrasson-Lavilledieu
    Tél. 05 53 51 47 00
    SITE WEB

     

    L'essor se produit au VIème siècle avec l'installation d'un monastère autour de Sorus, nom de l'ermite local Saint-Sour.

    Un Pays de légendes....

    Il y a près de 1400 ans, le roi mérovingien Gontrand, prévenu de la grande sagesse du Moine Sour, lui rendait visite et lui donnait les moyens de fonder son abbaye. D'où la légende selon laquelle Saint Sour aurait lâché les colombes de son rocher, les voyant se poser dans le vallon, se serait écrié : « terra sunt », expression qui aurait donné naissance au nom de Terrasson. La vie s'organise autour du monastère ; Les périodes de prospérité alternent avec les temps de guerre et de dévastation, par exemple lors de l'invasion normande au IXème siècle. Pendant les périodes troublées du Moyen Age  ...

    Le centre historique avec l'église et en contre bas la Vézère

    PARLONS UN PEU D'HISTOIRE

    La vie se développe à l’époque gallo-romaine : les vestiges d’une villa abandonnée, au hameau de Gaubert, à proximité de la Vézère ont été mis au jour. Une mosaïque et d’autres objets (fibules, ustensiles de cuisine…) retrouvés sur ce site sont aujourd’hui exposés au musée d'art et d'archéologie du Périgord, à Périgueux.

    Les puissants souverains wisigoths dominent le pays à la fin du ve siècle. Mais ils laissent s'imposer lentement l'hérésie arienne, qui dérange les autorités religieuses et parvient, par zèle, à faire déporter fidèles, prêtres et évêques résistants à l'assimilation. Ces troubles internes favorisent l'expansion subite des troupes franques du roi et chef de guerre Clovis, qui était autrefois facilement contenue sur le front ligérien. Le christianisme traditionnel est rétabli par les envahisseurs, mais longtemps les chrétiens trinitaires qui avaient dû se cacher dans les recoins reculés continuent à perpétuer leurs saintes retraites.


    LES JARDINS DE L'IMAGINAIRE

    A deux pas de Sarlat et Lascaux, un site touristique et culturel majeur qui marie l’art des jardins à l’histoire de l’humanité. Une évocation de l’histoire des jardins depuis la période romaine en 13 tableaux naturels aussi surprenants qu’envoûtants où le visiteur retrouve les invariants des jardins du Monde : eau, mouvements du vent, terrasses, végétaux, perspectives…

    2 000 rosiers, 20 000 vivaces, 2 500 pieds de buis, 120 jets d’eau, plus de 150 espèces végétales, 8 000 arbres et arbustes dont des essences rares, des terrasses, un théâtre de verdure, un tunnel végétal, des sous-bois, un belvédère, des jardins d’eau… se profilent ainsi sur six hectares en terrasse en surplomb de la Vézère.

    Un clic pour se rendre sur le site des jardins de l'imaginaire

     

    ÉGLISE ABBATIALE SAINT SOUR

    Cette église fortifiée qui domine aujourd'hui la ville fut d'abord une abbaye mérovingienne fondée au XIème siècle par un moine nommé Sorus. Ayant subie de multiples destructions, notamment lors des guerres de religion, plusieurs entreprises de reconstructions furent engagées dont une vaste restauration au XIXème siècle avant qu'elle ne prenne cette forme et son apparence actuelle.
    Pour y accéder, il faudra inévitablement grimper, que ce soit par les petites ruelles et les escaliers du vieux bourg ou la passerelle des remparts, tous les deux étant parfaitement entretenus et aménagés. Une fois arrivé au sommet, vous pourrez profiter d'un magnifique panorama sur la ville et les méandres de la Vézère.

     
    L'église quant à elle vous paraîtra comme neuve, semblant veiller paisiblement sur la ville. Vous pourrez admirer sa sublime nef ainsi que sa rosace et ses magnifiques vitraux relatant l'histoire Saint Sour.

     



    LE PONT NEUF

    Le pont NeufJusqu’en 1833, seul le Vieux Pont permettait de passer la rivière, mais comme il était en triste état, la municipalité, avec l'appui de Charles X décida de se doter d'un nouveau pont sur la Vézère: le pont neuf.
    Situé à l’ouest de la ville, reliant les villes ancienne et contemporaine, cette dernière étant en plein développement et les transports se multipliant, les travaux de construction ont démarré en 1830 pour s'achever en 1833. D’une longueur de 104 mètres, le pont comporte cinq arches en plein cintre et ses piles étant renforcées par des contreforts circulaires. Ce second pont étant relié à l’antique Pont Vieux par un quai qui longe la rivière. Il officierait comme trait d’union entre la ville haute et le nouveau quartier en plein essor du « Pas Bruzat » situé sur la rive droite. Aujourd'hui la ville se distingue magnifiquement par la présence de ses deux ponts qui lui confèrent un caractère unique et qui lui donnent un charme certain, entre les deux rives de la Vézère.

    Un clic pour voir l'album photos

     

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