• À PROPOS DE CETTE PETITE VILLE THERMALE

    Une petite balade à La Bourboule nous a permis de découvrir le parc Fenestre qui fait en même temps parc floral et parc d'attractions. Nous avons préféré faire ressortir dans cet article le côté parc floral et l'aspect général de la ville par elle-même. Ville importante en ce qui concerne les cures thermales. D'ailleurs, vous remarquerez dans l'album photos quelques clichés d'édifices liés à ce type d'activité.
    Malgré le temps maussade le jour de notre visite, nous avons pu apprécier quelques chefs-d'œuvre comme l'église Sainte-Bernadette des Dores et ce parc, ainsi que quelques immeubles de style et la rivière traversant la ville. Cependant, nous n'avons pas été émerveillés par le site en général, considérant que La Bourboule est surtout une ville de curistes. Seul le paysage aux alentours, la partie montagneuse, est digne d'intérêt.

    Pour vous guider

    Situation nationaleOffice du Tourisme du Sancy
    Bureau de La Bourboule

    15 place de la République
    BP 80
    63150 La bourboule
    Tél : 04 73 65 57 71
    Fax : 04 73 65 50 21
    Site internet de La Bourboule

    Situation localeMairie de La Bourboule
    15 Place République, 
    La Bourboule
    Tél. 04 73 81 31 00

    Fax : 04 73 65 54 98
    Site internet : Ville de la Bouboule

     

    L'histoire de la roche des fées

    À cette époque, loin, très loin de nous, ni les romains, ni même les Gaulois n’avaient découvert les prodigieuses sources thermales qui jaillissent un peu partout en Auvergne, pour notre plus grand bien-être à nous autres, pauvres humains sans cesse accablés de maux de toutes sortes.

    Ces sources cristallines bouillonnaient secrètement dans le ventre opulent et démesuré de la Terre, là où le feu souverain liquéfie la roche pâteuse, où le sang rouge de la lave irrigue puissamment ses entrailles profondes. En surface, seuls affleuraient çà et là, parmi l’herbe et les cailloux, quelques lacs miroitants. Dans le Massif des Monts-Dores (Massif du Sancy), sauvage entre tous, les habitants étaient rares et la nature triomphante. De nombreuses roches, énormes et escarpées, parsemaient le paysage. Gardiennes fidèles de la Haute-Auvergne, elles dominent toujours fièrement pâtures, forêts, villes et villages.

     
    La petite histoire du village

    La Bourboule a obtenu le statut de commune autonome en 1875 avec le village du même nom et les hameaux de Quaire, Fenestre, Vendeix et du Pregnoux. Avant cette date, elle dépendait de la commune de Murat-le-Quaire. Cette date de 1875 a été le point de départ de son extension et de sa prospérité, qui a fait d'elle une « Grande ville d'eaux », qu'elle est devenue en quelques années.

    Elle s'est alors dotée d'équipements de soins importants dans les années 1870 (thermes Choussy, Grands thermes, etc.), d'une église néoromane construite dans les années 1880, de deux casinos construits entre 1890 et 1892, etc. Cette période de développement est marquée par la « guerre des puits » entre les familles Choussy et Mabru se déchirant sur la propriété des différentes sources thermales.

    Dans la 1ʳᵉ moitié du XXe siècle…



    Vue sur la Bourboule
    Le parc paysager Fenestre

    Parc à l'anglaise, réalisé sur la rive gauche de la Dordogne, à l'emplacement de l'ancien « pré du Merle », à partir de 1874. Il est bordé à l'ouest par le ruisseau du Vendeix. Le parc a pris le nom de parc Fenestre, d'après le nom de l'écart situé un peu plus haut, côté est. À l'origine, la parcelle faisait environ 12 hectares. En 1972, le parc est devenu municipal, et a été réaménagé. Le parc abrite aussi, en particulier, une pièce d'eau, une aire de jeux pour les enfants, le pavillon des enfants (œuvre de l'architecte Marcel Jarrier en 1931), et la gare des télécabines reliant la ville au plateau de Charlannes.

    Le parc paysager Fenestre (Plan)

     
    Église saint Joseph

    L’église de la Bourboule construite entre 1885 et 1888 grâce à des fonds de la commune et des dons de paroissiens, fut consacrée par Mgr Boyer évêque de Clermont le 2 juillet  1888, dédiée au patronage de saint Joseph. Ce n’est qu’en 1902 qu’un clocher fut érigé et que trois cloches furent bénies le 30 septembre de cette même année.

    En 1941, le sculpteur Henri Charlier, se trouve à Ambert, accueilli en ce temps de guerre par son ami Henri Pourrat. Le chanoine Coute, 4ᵉ curé de La Bourboule…
    Les grands thermes de la Bourboule

    Située au cœur du Parc Naturel Régional des Volcans d’Auvergne faille de Limagne classé au patrimoine Mondial de l'Unesco, La Bourboule est une ville thermale de 2000 habitants bâtie le long de la rivière Dordogne, au sein du Massif du Sancy.

    Véritable joyau de la Belle Epoque, ancré dans un territoire préservé, les Grands Thermes de La Bourboule vous accueillent d'avril à novembre.

    Les Grands Thermes de la Bourboule vous propose des cures thermales
    et des séjours santé dans le cadre du traitement des affections liées aux Voies Respiratoires, à la Dermatologie, aux Muqueuses Bucco-Linguales
    ou encore aux Troubles du Développement de…

    La Bouboule en vidéo


    La température de l’eau thermale des Grands Thermes de La Bourboule est de 58°C à l’émergence. C’est une eau bicarbonatée, chlorurée sodique, arsenicale et riche en oligo-élements

    Elle possède des propriétés anti-inflammatoires, anti-infectieuses et anti-radicalaires et renforce également les défenses immunitaires. La cure comprend des soins de balnéothérapie ainsi que, selon le cas, des soins propres aux voies respiratoires (aérosolthérapie…) ou à la dermatologie (douche filiforme).

    Voir l'album photos

    Grandeur, splendeur, faste, élégance...

    Tous ces mots qualifient La Bourboule de la Belle Époque comme l’architecture la représente.
    Façade de la boulangerie Rozier, cariatides de l´hôtel de ville, les Grands Thermes de style néo-byzantin et de nombreux anciens palaces caractéristiques de cette architecture.

    L’histoire de la station thermale de LA BOURBOULE érigée en commune en 1875 dépend surtout de la richesse en eaux de son patrimoine volcanique. "BORVO", dieu celte des sources, d'où le verbe bourbouler (=bouillonner), serait à l’origine du nom de la ville.  Une certitude dans le mystère de ses origines : elle est "Fille de MURAT-LE-QUAIRE", une place forte villageoise surplombant la vallée de la Dordogne. LA BOURBOULE n’était alors qu’un hameau inondé par d’abondant...


    Les thermes


    L'église

    Le parc Fenestre

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    43 commentaires

 

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